Pave Mons en Pavele

Mons et Pévele
3000 mètres - cinq étoilesDepuis 1955, c'est un nom qui fait transpirer de nombreux motards.
La bande a été modifiée plusieurs fois, mais la lourdeur de la bande actuelle correspond toujours au nom légendaire.Mons en Pévèle est un village perché sur une colline de plus de cent mètres d'altitude dans le Pays de Pévèle.
Ma connaissance de l'histoire nationale n'est pas la meilleure, mais je pense que Pevelenberg appartenait au sud des Pays-Bas au Moyen Âge.
Je ne veux certainement pas en discuter parce que cela s'est produit un peu trop souvent dans cette région.
Particulièrement célèbre est la bataille de Pevelenberg (1304) où les historiens ne s'accordent toujours pas sur qui a vraiment gagné.
Depuis lors, presque toutes les guerres ont eu lieu dans cette région.Heureusement, les batailles ne se déroulent plus qu'à vélo. Les premières années où la course passait par Mons et Pévèle, cela se faisait par la montée du Caouin.
Une bande de pavés lourds et fortement ascendants.
Pourtant, le laitier de Mons et Pévèle en avait marre d'arriver à chaque fois avec du beurre au lieu du lait. Le Caouin a donc été asphalté.Le parcours dévie de l'autre côté de la montagne et le village est maintenant escaladé par le Pas Roland. Mais aussi cette route vers le sommet ne pouvait pas échapper à la machine à asphalte.Heureusement, dans le pays de Pévèle, il y a de très nombreux kilomètres de bande pavée entre les terres agricoles.
Juste en dessous de la colline, il y a maintenant une section pavée en forme de Z qui est l'une des plus difficiles du parcours.
Des pavés de mauvais à très mauvais et en plus c'est un faux plat en grande partie crasseux. Ceci, combiné au vent qui est presque toujours présent, en fait une bande très lourde.
La bande fait partie du parcours depuis 1978 et n'a été laissée intacte qu'une seule fois depuis lors.
Seule la première partie a été utilisée quelques fois et en 2008 les très mauvaises parties ont été restaurées.La bande de Mons et Pévèle assure généralement que les coureurs nécessaires vont trop loin. La barre des 200 est désormais franchie en course et les hommes qui viseront la victoire seront désormais largement battus. Pour les dieux inférieurs, par conséquent, cette étape du cours est généralement un cours d'humilité.
Immédiatement après la bande, il y aura un morceau de faux plat. Un rien pour un pro entraîné, mais à ce stade de la course tout commence à peser.
Ici, le fracas des armes commence, mais il reste encore cinquante kilomètres jusqu'à Roubaix avec encore 15 kilomètres de pierres pour la plupart très mauvaises sur le chemin.S'il a plu, c'est une bande où le diable tient les heures de bureau. Les 1500 derniers mètres en particulier sont - malgré la restauration - une tâche presque impossible.
Les nids-de-poule sur le bord de la route sont remplis de flaques d'eau et vous ne savez pas à quelle profondeur elles sont. Seuls ceux qui ont un très grand cœur osent sortir de l'arrière de la route pour dépasser les autres. Si vous êtes dans une édition pluvieuse plus loin que la 20e place, c'est à ce moment que vous perdrez le cap.
Pendant le parcours, cette bande attire beaucoup de monde.

Une section pavée légendaire de trois kilomètres de long. Il n'y a qu'une seule solution pour survivre au strip : rouler fort sur la bosse et ne ralentir qu'aux deux virages !

Cette section n’est pas facile. Les pavés semblent vous détester. Vous les détesterez aussi. Bonne chance et soyez prudent ici.